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Nous avons réuni 9 tests du Alice au Pays des Merveilles. Les experts notent Alice au Pays des Merveilles 8.5/10. Retrouvez sur TestMateriel.com les tests, le meilleur prix, les avis des utilisateurs du Alice au Pays des Merveilles et d'autres Jeux DS.
Depuis quelques années maintenant, chaque blockbuster cinématographique connait son adaptation en jeu vidéo. Souvent bâclé, ce genre de portage est généralement synonyme de punition pour les testeurs. Cette année c'est au tour d'Alice au pays des Merveilles de connaitre son transfert vers le monde vidéoludique, et contre toute attente cette version Nintendo DS s'avère être de très bonne qualité. Comment Etranges Libellules, le développeur du titre, a-t-il réussi là où tant de développeurs ont échoué ? Pourquoi Alice aux pays des Merveilles est un bon jeu ? Voici les réponses.La première chose qui saute aux yeux quand on rentre dans le jeu, c'est l'aspect graphique du titre. Alors que l'on aurait pu s'attendre à un bête copier/coller de l'esthétique gothique que Tim Burton a donné au film, on se retrouve face à un vrai parti pris graphique. Le jeu est coloré, épuré et teinté d'aplats de couleurs pastel. Sans être enfantin, ce style est une sorte de chainon manquant entre le film d'animation de 1951, l'adaptation de Tim Burton et l'onirisme du récit original. On peut dire que les designers du développeur lyonnais on su s'approprier le compte de Lewis Carroll, même si sur l'ensemble de l'aventure, l'homogénéité des décors pourrait en lasser certains.
Quand on pense aux jeux à licence cinématographique, on se souvient surtout du pire. Hulk, Terminator: Renaissance, Hellboy: The Science of Evil, les 4 Fantastiques et le Surfer d’Argent… Autant de jeux pathétiques réalisés à la va-vite pour accompagner la sortie du film du même nom dans les salles obscures. Le constat est sans appel. Il se vérifie presque systèmatiquement, en dehors de quelques rares anomalies salutaires. On peut citer le Retour du Roi ou le premier jeu Spider-Man sur PS2 par exemple. A cette liste des exceptions qui confirment la règle, il convient désormais d’ajouter la version DS d’Alice au Pays des Merveilles. Développé par Etranges Libellules, studio lyonnais à qui l’on doit déjà l’adaptation honnête d’Arthur et les Minimoys, cette version mérite vraiment que l’on s’y intéresse. Tout simplement parce qu’elle est parvenue à créer l’alchimie parfaite entre les fonctionnalités de la DS et l’univers hallucinant de Lewis Carroll revisité par Tim Burton. . Les décors sont très réussis, de même que les animations des différents personnages. De plus, le jeu profite d’une ambiance sonore discrète mais amusante, à l’instar des cris d’Alice lorsqu’elle est attaquée par des monstres. Si le charme visuel opère immédiatement, le gameplay, lui, se dévoile de manière progressive.
Nous parlons régulièrement de l'adaptation bâtarde de films en jeux vidéos, mais le lien entre les jeux vidéo et la littérature n'est pas souvent considéré avec attention, tout simplement parce que les développeurs osent rarement s'y engager, se contentant alors de plagier ou d'effectuer une pâle copie de la source.Il est agréable de s'apercevoir que l'interprétation d'Alice aux Pays des Merveilles du studio Etranges Libellules est plus proche dans l'esprit de l'oeuvre originale de Lewis Carrol que du film de Tim Burton. Au niveau visuel, en revanche, le jeu est fidèle à la caricature surréaliste du film, mais l'humour et le superbe sens de l'absurdité sont clairement des caractères issus du livre déjanté de Lewis Carroll.Le jeu surprend dès le menu principal où de petites Alice innocentes sont pourchassées par un lièvre blanc à la veste violette jusqu'au fond du terrier et dans le monde d'Underland. Les différents menus sont cachés derrière des portes, sur lesquelles vous devez frapper avant d'entrer. Les personnages ont tous des caractères distinctifs, et un design proche de ce que l'on peut voir dans Okami. Leur style possède également une grande affinité avec les oeuvres précédentes de Tim Burton.
GamePro.fr
Ajouté le : 03/2010
Plus accessible...
On en pense ce que l'on en veut, mais les lyonnais d'Étranges Libellules ont toujours fait le travail sur les jeux à licence qui leur ont été confiés (Arthur, Astérix). Jamais de chefs d'oeuvre, mais jamais de gros ratés non plus. Et puis il y a Alice, l'adaptation du film de Tim Burton lui-même adapté du conte de Lewis Carroll. De la version Wii (ou PC, plus jolie mais moins conviviale), on retiendra un titre plutôt bien pensé, parfait pour une progression en famille, avec des pouvoirs à combiner, des difficultés liées à la 3D et aux caméras, mais un plaisir renouvelé dans ce produit dérivé intelligent. En revanche, c'est sur Nintendo DS que la magie opère. Déjà lors de notre visite au sein des studios lyonnais nous avions pu déceler tout le potentiel de cette mouture portable qui nous avait davantage captivé que sa grande soeur. Une version qui bénéficie de son propre moteur graphique et de choix esthétiques nettement plus marqués, et plus inspirés également. Là où, dans le graphisme, la version Wii s'inspire du travail de Tim Burton dans son film, la version DS sort des lignes, invente, propose... Si bien que la petite histoire veut que Burton, emballé par le travail des artistes lyonnais, s'en soit inspiré de diverses manières dans son long métrage.
Quand on évoque Alice Au Pays Des Merveilles, certains pensent immédiatement au chef-d'?uvre de Lewis Caroll, d'autres se repassent dans leur tête les passages cultes de l'adaptation en dessin animé faite par Walt Disney. Enfin, les derniers songent au film de Tim Burton. Et c'est justement de cette dernière ?uvre dont il s'agit aujourd'hui avec cette adaptation sur la petite portable aux deux écrans de Nintendo. Maintenant, qui dit adaptation de film en jeux vidéo dit grosse déception en général. Le titre développé par le studio français Etrange Libellule annonce la couleur en précisant qu'il s'inspire du film de Tim burton. Est-ce une bonne nouvelle ? Nous ne retrouvons pas Alice au début de ses aventures au Pays des Merveilles mais dix ans après les événements narrés dans le roman de Lewis Caroll. Tombant à nouveau dans l'Arrière-Pays, elle n'en trouve plus que ruine et désolation. Le gigantesque Jabberwocky dévaste tout sur son passage. Mais il est écrit que seule Alice peut sauver ce monde. Le Lapin Blanc est parti la rechercher et maintenant qu'ils sont réunis, il va falloir trouver les trois autres compagnons de route.
En proposant une relecture différente de l'oeuvre de Lewis Caroll, Tim Burton s'est accaparé un univers afin de le remodeler selon sa propre vision des choses, sa propre sensibilité. Logique donc que l'adaptation vidéoludique suive le même chemin. Toutefois, si Etranges Libellules a tenu à conserver cette atmosphère gothique par le biais d'un vrai parti pris graphique, les développeurs n'en ont pas pour autant délaissé le fond. Récit d'un rêve oublié... Il y a certains cauchemars qui se substituent aux rêves et qui ne s'arrêtent jamais. Il y a dix ans, Alice était tombée dans le terrier du lapin. A force d'abnégation, d'espoir et d'espièglerie, elle s'en était sortie et avait déjoué les plans machiavéliques de la reine de Coeur. Seulement voilà, l'Arrière-Pays subit actuellement une nouvelle crise. Le démoniaque Jabberwocky a fait main basse sur le royaume et c'est une fois de plus à vous, pauvre petite fille perdue, de dénouer la situation. Toutefois, vous ne serez pas seule puisque très rapidement, vous rencontrerez Le Lapin Blanc, La Chenille, Le Chapelier Fou ou bien encore le Chat-du-comté-de-Chester. Si chacun d'entre eux pourra être jouable à tout moment de la partie, sachez que les bougres se montreront complémentaires, ceci représentant le point le plus important d'Alice au Pays des Merveilles.
Il y a quelques mois, Disney Interactive Studios organisait une journée presse à Lyon durant laquelle nous avions pu faire un petit tour du côté des studios de développement d'Etranges Libellules. Le but de ce voyage était simple : découvrir les premières images d'Alice au Pays des Merveilles, l'adaptation sur PC et consoles du nouveau film de Tim Burton. D'ailleurs, ceux qui ont suivi attentivement notre actualité ne sont pas sans savoir qu'en repartant de la cité rhodanienne, nous étions plus qu'emballés par le jeu. Aujourd'hui, la copie définitive nous est parvenue dans son bel écrin et l'heure du verdict a enfin sonnée. Avions-nous eu raison de nous enflammer ?Même si la patience est mère de toutes les vertus, ne faisons pas traîner le suspense plus longtemps. Oui et avec conviction, Alice au Pays des Merveilles sur DS est un très bon jeu d'aventure. Doté d'un vrai sens graphique, d'un univers attachant, d'une maniabilité et d'un gameplay véritablement pensés pour la console portable de Nintendo, le titre développé par Etrange Libellules s'avère être donc un titre qui nous réconcilierait presque avec les adaptations de licences généralement ratées. La raison de cette réussite : la liberté totale qu'a obtenue le studio français pour développer soigneusement son projet.
Si son grand frère joue la carte de l'épopée magique en recréant la magie du film sur Wii, le jeu d'Alice au Pays des Merveilles sur DS opte pour l'humour et la simplicité. Des personnages mignons comme tout, croqués avec talent, une jouabilité très accessible et une aventure pensée comme un puzzle... C'est une expérience vraiment agréable qui attend les jeunes joueurs.On dirait qu'Alice a pris le thé avec la Princesse Peach, et qu'elles se sont enfilé quelques champignons au passage. Totalement hallucinée, inconsciente de la gravité de sa situation, et irrésistiblement drôle, cette mouture de poche semble tout droit sortie d'un manga. En effet, l'histoire a été légèrement remaniée, et les créateurs d'Etranges Libellules n'ont pas hésité à jouer avec les dialogues. Emprunt d'humour et de second degré, si ce jeu très barré fait rire les enfants, il ne les prend pas pour autant pour des billes. Son univers attirant, très "Burtonien" et moderne, n'est pas le seul atout de cet Alice au pays des Merveilles. Comme sur Wii, les joueurs sont invités à incarner chacun des compagnons d'Alice ; ils doivent accompagner la petite et la protéger.
C'est l'histoire d'une petite blonde trop curieuse qui avait pour amis un lapin toujours en retard, un lièvre un peu barré, un chat invisible et qui fêtait son non-anniversaire pratiquement tous les jours. Et si vous êtes possesseur d'une DS, vous pourrez bientôt accueillir tout ces cas échappés de l'asile dans votre poche. Longtemps après le dessin animé, Disney s'est décidé à produire une nouvelle version des aventures d'Alice au Pays des Merveilles. Cette fois-ci, il s'agira d'un long métrage avec de vrais acteurs - mais aussi quelques créatures générées par ordinateur - et c'est Tim Burton qui s'assiéra dans le fauteuil de réalisateur. Le studio lyonnais Etranges Libellules se charge de l'adaptation de ce film sur la plupart des plates-formes de jeux. La démarche qui a guidé leur travail tient en leur vision de l'histoire d'Alice telle que nous l'a définie Edith Protière, la directrice du studio : "Alice au Pays des Merveilles, c'est avant tout une histoire de perspective, de point de vue.". Et c'est sans aucun doute en partant de cette idée de base qu'ils ont décidé de ne pas confier le personnage d'Alice au joueur mais de lui faire gérer tous ses compagnons afin de la protéger. Il faut dire que le lapin blanc, le lièvre de Mars et compagnie vont avoir fort à faire car le retour d'Alice a quelque peu énervé sa majesté la Reine de Coeur qui voudrait bien que cette empêcheuse de tourner en rond aille se faire couper la tête ailleurs.
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