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Nous avons réuni 6 tests du DxO One. Les experts notent DxO One 5.7/10. Retrouvez sur TestMateriel.com les tests, le meilleur prix, les avis des utilisateurs du DxO One et d'autres Appareil photo numérique DxO.
La page des statistiques caméras de Flickr permet de prendre conscience de l'importance de l'iPhone dans la photographie : dans le top 5, aucun boîtier photo mais cinq smartphones dont… quatre iPhone positionnés 1er, 2nd, 4e et 5e. Si le meilleur appareil est « celui que l'on a toujours sur soi » cela n'empêche pas le module caméra des appareils d'Apple d'être bien techniquement inférieur aux « vrais » appareils photos.Pour améliorer la qualité d'image sans (trop) sacrifier la compacité, l'éditeur français de logiciels DxO s'est donc lancé dans l'arène des constructeurs photo en lançant son premier boîtier : le DxO One. Un module caméra dont l'objectif est de transformer les iMachins en vrais compacts experts. La DxO One est une réussite en termes de miniaturisation et de compacité – avec des limites comme nous le verrons. Pesant à peine 108 g, le module de DxO est effectivement deux fois et demi plus compact qu'un RX100 de Sony. Il tient parfaitement dans la poche d'un jean et la qualité de fabrication est irréprochable.Développé entre Boulogne et San-Francisco où la marque dispose de bureaux, le One est léché et l'agencement des pièces est impeccable. Côté connectivité, DxO a développé un système de prise rotative pour déployer le connecteur Lightning. A noter que la mise à jour prochaine du firmware (microprogramme) du module devrait permettre la connexion en Wi-Fi avec le smartphone. Car NON, la One n'est pour l'heure pas encore pilotable en Wi-Fi. Ce qui est d'ailleurs incompréhensible pour un appareil photo lancé fin 2015. Commençons par le positif : le capteur 1 pouce et l'optique lumineuse délivrent de beaux clichés, bien plus beaux que ceux produits par un iPhone, mais aussi plus riches en informations et donc plus adaptés à un vrai développement numérique via un logiciel comme Lightroom ou… DxO Optics Pro, le logiciel par lequel DxO a fait sa renommée.Cette qualité d'image est fort logique quand on considère que le capteur 1 pouce de 20 Mpixels est six fois plus grand que le capteur 8 Mpixels au format 1/2.3 de pouce de notre iPhone 6 Plus de référence.Les déformations sont très bien maîtrisées.Vous pouvez d'ailleurs regarder - et télécharger ! - les images en pleine définition dans notre album Flickr. Pour des raisons de construction optique et d'encombrement, le One n'est pas doué en macro puisque sa distance de mise au point minimale est de 20 cm. Couplée à une cette focale...
A moins que vous ne soyez un féru de photo, le nom DxO Labs ne vous dira probablement rien. Cette entreprise, qui se partage entre Boulogne-Billancourt et la Californie, est le laboratoire de référence en ce qui concerne les tests de capteurs photos. Après des années à tester et conseiller tous les grands noms de la photo, ces passionnés se sont lancés dans la conception de leur propre appareil. Le résultat est le DxO One, un appareil ambitieux et original puisqu'il se présente sous la forme d'un accessoire iPhone. Un concept qui n'est pas sans rappeler le Sony DSC-QX100 sorti il y a quelques années mais qui n'avait pas tout à fait convaincu. Reste à voir si la réalisation de DxO sera plus réussie. Au vu du prix très élevé de l'appareil (600 € tout de même), DxO avait intérêt à proposer un appareil particulièrement bien fini. C'est heureusement le cas puisque tant le design que la finition sont au niveau de l'iPhone sur lequel il viendra se fixer. Tout est parfaitement ajusté et les quelques pièces mobiles respirent la solidité. Outre le connecteur Lightning que l'on détaillera plus loin, on trouve une prise micro-USB pour la recharge et un lecteur micro-SD tous deux dissimulés derrière une petite trappe. Un petit écran OLED est aussi présent. Il se contente d'afficher quelques informations basiques (mode utilisé, espace de stockage disponible, etc.). Attention, aucune carte micro-SD n'est fournie avec l'appareil photo. On vous conseille d'ailleurs de prendre un modèle haut de gamme, les clichés RAW ayant tendance à peser lourd. La Sandisk Extreme Pro 64 Go (61 € sur Amazon) est, par exemple, un excellent choix. Si l'assemblage de l'iPhone et du DxO One s'effectue sans soucis, on regrette tout de même que sa hauteur n'est pas été ajustée à la largeur des iPhone 6 et surtout 6s. La raison est en fait simple : l'appareil photo a été construit avec les mensurations de l'iPhone 5s en tête… Du coup, le couple iPhone 6/DxO One a tendance à basculer lorsqu'on le pose sur une table. On espère qu'une nouvelle version au format modifié arrivera un jour ou l'autre. Reste la question de la portabilité effective. Bien que plus petit qu'un compact classique, le DxO reste assez imposant pour que l'on se pose la question de l'emmener ou pas avec soi. Pour le rendre vraiment indispensable, il faudrait encore l'affiner un peu.
Inauguré par Sony et sa gamme QX il y a deux ans, le concept de module photo autonome pour smartphone n'a pas spécialement fait d'émule. Et pour cause, en dépit d'une originalité certaine, ces appareils ont eu du mal à démontrer leur pertinence. Armé de son savoir-faire en matière de traitement d'image, et adossé à Apple, DxO réussira-t-il à transcender le genre ? A une époque où certains constructeurs ciblaient la convergence à tout prix en tentant de fusionner smartphone et appareil photo, Sony a pensé complémentarité. Le QX10 a surpris, assurément, et aussitôt déçu. L'objet de la taille d'une focale fixe n'était pas si pratique à transporter qu'annoncé, et la connexion au smartphone en Wi-Fi s'est vite révélée problématique en termes de réactivité. Le DxO One a, sur le papier, toutes ses chances, puisqu'il est nettement plus compact et qu'il se connecte via la prise Lightning d'Apple. Voyons cela. Le DxO One est un petit module parallélépipédique, légèrement arrondi sur les bords, de 6,8 cm par 4,9 cm, et 2,6 cm d'épaisseur pour 108 g. Le boîtier de plastique et aluminium se glisse aisément dans une poche, y compris à l'arrière d'un jeans. En cela, la différence avec le QX10 de Sony est flagrante : le DxO One marque un point en matière de transportabilité. Ce petit appareil renferme un capteur CMOS BSI de 20,2 mégapixels au format 1 pouce (13,2 x 8,8 mm) dont on ne connait pas l'origine. Mais il s'agit probablement du même composant d'imagerie que sur le RX100 de Sony, de troisième voire quatrième génération. Ce CMOS est associé à une optique à six éléments de focale fixe, équivalent 32 mm, avec autofocus. Voilà un premier facteur possible de déception : le module photo de DxO ne dispose pas de zoom, alors qu'on se rappelle que les QX10 et QX100 tiraient en partie leur légitimité de leur vrai zoom optique, 10 X ou 3,6 X, attribut faisant défaut aux smartphones. Ici, on pourra zoomer par recadrage dans les 20,2 mégapixels mais c'est tout. Et DxO n'a pas non plus voulu, ou pu, adjoindre une stabilisation optique : elle est électronique et limitée à la vidéo. A ces lacunes, il convient d'opposer la belle luminosité de l'optique (F:1,8) et le véritable diaphragme mécanique à six lames. Le DxO One intègre sa propre batterie rechargeable - malheureusement peu endurante puisqu'elle ne dépasse pas les 200 vues au maximum - son lecteur de carte microSD, un gyroscope et un accéléromètre....
Sony a inventé le concept des objectifs connectés "Smart Lenses" avec . Olympus lui a embrayé le pas cette année son Air A01, un objectif capable de fonctionner en mode autonome ou connecté à un terminal mobile. Tous ces produits ont en commun d'utiliser le Wi-Fi comme connexion sans fil à un smartphone ou une tablette dont l'écran sert de viseur. A la différence des modèles volumineux proposés par les deux marques japonaises, le DxO One est un tout petit boîtier format au "savonnette d'hôtel" qui se branche à la prise Lightning de l'iPhone ou de l'iPad. Il renferme d'une définition de 20 mégapixels et un objectif 33 mm f/1.8. C'est bien pensé, amusant à utiliser et la qualité des photos est comparable à celle d'appareils affichant les mêmes spécifications. Mais le DxO One est cher et n'est pas exempt de défauts. La compagnie annonce son arrivée en Europe (Allemagne, Autriche, Belgique, France, Irlande, Luxembourg, Pays-Bas,Royaume-Uni et Suisse) dans le courant du mois d'octobre à 599 euros.Design et fonctionnalitésLe design du module DxO One est certes astucieux mais il présente des inconvénients. Il s'agit d'un appareil photo rectangulaire qui tient dans la paume de la main associé à une application iOS. La façade avant coulisse sur l'objectif. Lorsque l'utilisateur ouvre ce cache, l'appareil s'allume. Un second geste identique fait sortir le connecteur Lightning pour brancher le boîtier sur la prise idoine d'un iPhone ou d'un iPad. La même manœuvre permet de rétracter le connecteur, chose que nous n'avons pas appréciée car cela suppose d'allumer une fois encore l'appareil.En voyant le DxO One, nous avons d'abord pensé qu'il pourrait servir de poignée une fois branché. Mais dans la pratique, le boîtier est si petit qu'il est compliqué de le tenir sans obturer l'objectif ou le faire bouger. Au final, nous avons trouvé que la meilleure solution était de le tenir comme l'on tient son smartphone pour prendre des photos et de se servir du majeur de la main pour appuyer sur le déclencheur ou bien d'utiliser un doigt libre de l'autre main pour faire la mise au point et la prise de vue en touchant l'écran. Le déclencheur dispose de deux vrais niveaux de pression bien qu'il s'agisse d'un obturateur électronique. Ce bouton est un peu trop rigide à notre goût. Il n'est pas vraiment dur mais et il fait bouger l'appareil car le connecteur Lightning possède un léger jeu. C'est un peu problématique. Apple a prévu...
DxO, spécialiste des logiciels de traitement d'images, se lance sur un nouvelle voie, celle des appareils photo. La marque produit la DXO One, un concept proche de celui des smartlenses de Sony. Connecter un appareil photo secondaire miniature à son iPhone pour avoir de meilleures images, c'est tout l'intérêt de ce petit gadget à capteur 1" qui permet de photographier en RAW. Surpassera-t-il l'appareil intégré ? Depuis que les photophones envahissent le marché, les constructeurs d'appareils photo rivalisent d'idées pour ne pas se laisser submerger sur ce terrain. Sony a ainsi proposé des objectifs adaptables aux smartphones, tel que le QX1, Panasonic le Lumix CM1 à capteur 1", un photophone 2-en-1 très réussi, mais trop imposant et Kodak s'est lancé dans l'aventure des modules photographiques. DxO se lance à son tour là où on ne l'attendait pas. Il est clair que si vous n'êtes pas branché Apple, vous ne risquez pas d'être tenté par ce DxO One exclusivement dédié aux iPhone et iPad de dernière génération (iPhone 6, 6 Plus, 5, 5s et 5c, iPad Air, iPad Air 2, ainsi que les iPad Mini, le tout sous iOS 8 ou supérieur) ; au contraire des Sony QX, qui s'adaptent sur tous les smartphones Android et iOS. Un parti-pris de Dxo One qui n'a pourtant pas l'habitude de favoriser une marque plutôt qu'une autre et dont les logiciels sont généralement compatibles avec le plus grand nombre. Esthétiquement, la DxO One est tout à fait raccord avec l'état d'esprit de la marque à la pomme. Grisée, fine est bien finie, elle n'est pas désagréable à regarder. Sa construction en aluminium lui assure une solidité et une légèreté appréciable. Elle semble moins imposante qu'une smartlense QX de Sony — connectée en Wi-Fi —, qui doit être placé sur la face arrière de l'appareil, tandis que la DxO One se connecte en bas de l'iPhone, via un connecteur physique (prise Lightning). Si certains peuvent douter de la résistance de la prise, nous trouvons cette opération de connexion tout de même beaucoup plus rapide puisqu'elle évite d'appairer l'appareil chaque fois. Le module photo est ainsi à peine plus large qu'un iPhone 6 Plus et possède un petit afficheur Oled pour la visualisation des informations, même si en pratique il est plutôt rare de l'utiliser, puisque, comme pour une action-cam, la manipulation et le cadrage se font via l'écran. Il est tout de même possible d'utiliser l'appareil indépendamment du smartphone. Une fois la...
FocusNumérique
Ajouté le : 09/2015
Plus accessible...
Nous vous en avions parlé à l'occasion de son annonce, au début de l'été : la DxO ONE est un véritable appareil photo expert conçu pour être utilisé avec un iPhone. "Tu vas vraiment être surpris", m'a prévenu l'attaché de presse de DxO. La société française spécialisée dans les logiciels (pointus) de correction d'images (DxO Optics Pro, flux d'images dans certains smartphones...) a placé la barre assez haut pour cette nouvelle annonce. Avec la DxO ONE, DxO devient l'un des rares constructeurs d'appareils hexagonaux. Découverte. J'avoue, je n'avais pas imaginé DxO devenir un fabricant d'appareils photo. Mon idée était plutôt une série de compléments optiques pour smartphone. D'un côté, je n'étais pas loin. D'un autre, je n'y étais pas du tout. Car si la DxO ONE a bien une optique, elle a également bien plus. Il s'agit d'un véritable appareil photo (et caméra) avec un capteur et un déclencheur physique. Pas d'écran, pas de commandes ; tout est déporté sur l'écran d'un iPhone : visée, réglages de la prise de vue, mise au point. Mais revenons sur le boîtier avant d'en décortiquer le fonctionnement. L'appareil est en aluminium forgé et arbore un design "panda", c'est-à-dire bicolore noir et argent. La fiche technique de la ONE est plutôt impressionnante. Imaginez un gros briquet Zippo (en plus épais : 69 x 49 x 26 mm pour 110 g en fonctionnement) dans lequel vient se loger un capteur 1" (oui oui, 1 pouce) de 20 Mpx rétroéclairé (le même qui équipe la série RX100 Mark II et Mark III de Sony) et une optique focale fixe de 32 mm en équivalent 24x36 ouvrant à f/1,8. Cette optique est équipée d'un iris mécanique à 6 lamelles ajustable jusqu'à f/11. Pour la conception de l'optique, les ingénieurs de DxO Labs sont partis d'une feuille blanche pour s'affranchir des contraintes liées à plus de 100 ans d'histoire de la photographie. La formule optique est "airless" avec une lentille arrière qui touche le capteur : il n'y a aucun tirage optique. Vous noterez que l'optique n'est pas stabilisée, le capteur non plus. Et le reste de la fiche technique est à l'avenant : mise au point mini à 20 cm, obturation entre 15 s et 1/8 000 s, plage de sensibilité de 100 à 51 200 ISO (Hi 2), mode d'exposition PSAM, vidéo HDTV 1080 à 30 i/s, enregistrement JPEG et RAW (DNG), carte microSD UHS-I, petit écran Oled tactile de rappel, etc. Un véritable concentré d'appareil photo... sans écran. Des spécifications qui...