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Nous avons réuni 3 tests du Bowers & Wilkins Zeppelin Wireless. Les experts notent Bowers & Wilkins Zeppelin Wireless 7.7/10. Retrouvez sur TestMateriel.com les tests, le meilleur prix, les avis des utilisateurs du Bowers & Wilkins Zeppelin Wireless et d'autres Enceinte lecteur audio Bowers & Wilkins.
La Zeppelin Wireless est la troisième itération d'un design des plus vénérables. Après un premier modèle sorti en 2008 avec un dock iPod, puis une première révision en 2012 pour remplacer le connecteur 30 broches par un réceptacle Lightning, l'enceinte oblongue de Bowers & Wilkins nous revient débarrassée de ce relativement disgracieux appendice, qu'elle a troqué contre une compatibilité Bluetooth. Physiquement, la disparition du dock est le seul et unique point qui distingue ce modèle de ses prédécesseurs. Différence certes subtile, mais pas dénuée d'importance : sans cette touche de métal, la Zeppelin porte désormais une robe entièrement monochrome, que l'on peut au choix trouver d'une triste austérité, ou d'une très élégante sobriété. On aurait toutefois tendance à penser que cette discrétion est plutôt bienvenue, puisqu'elle aide l'enceinte à se fondre dans tout décor, malgré ses dimensions toujours aussi généreuses (pas moins que 66 cm de large). La qualité de fabrication de l'engin est en tout cas très satisfaisante, même si l'on aurait aimé que le plastique mat à l'arrière soit un peu moins salissant. Notez au passage que l'enceinte est disponible en coloris noir ou blanc. Le dessus accueille les boutons de commande, au nombre de trois : deux boutons de réglage de volume et un bouton lecture/pause. On peut regretter l'absence de boutons de navigation... mais aussi le triste sort réservé au bouton de mise en veille, relégué à l'arrière du pied de l'enceinte, à proximité de la connectique filaire. La seule solution pour le rendre encore plus difficilement accessible aurait été de le placer carrément sous le pied ! Les designers de Bowers & Wilkins s'attendent vraisemblablement à ce que les utilisateurs se contentent de laisser l'enceinte se mettre en veille toute seule au bout de 20 minutes d'inactivité. On a du mal à trouver cela très pertinent... Notons par ailleurs que contrairement à ses prédécesseurs, la Zeppelin Wireless n'est pas fournie avec une télécommande. C'est dommage. La petite protubérance au bas de la face avant de l'enceinte accueille non seulement le témoin d'allumage de l'enceinte, mais également deux touches tactiles permettant de sélectionner la source : entrée auxiliaire analogique (connecteur mini-jack 3,5 mm stéréo), ou Bluetooth (en version 4.1, compatible aptX). Une pression prolongée sur la touche Bluetooth permet d'activer la visibilité de l'enceinte,...
Si vous cherchez une petite enceinte, facile à transporter, passez votre chemin. Zeppelin Wireless de Bowers & Wilkins est un gros modèle proposant de lire de la musique via des interfaces Bluetooth et Wi-Fi. Grâce à cette dernière, elle accède aux systèmes de diffusion AirPlay et Spotify Connect. L'enceinte comporte cinq haut-parleurs, développant une puissance élevée de 150 W, ce qui explique notamment son prix de 699 euros. Nous avons sorti nos instruments de mesure et nos oreilles pour l'écouter. Le Zeppelin Wireless est la suite logique du Zeppelin Air lancé en 2011. Cette grosse enceinte est toujours compatible avec la technologie Apple AirPlay, mais ne fait plus office de station d'accueil pour iPhone et iPod. A la place, Bowers & Wilkins mise sur une connectivité sans fil étoffée avec des interfaces Wi-Fi et Bluetooth, ainsi que l'accès à Spotify Connect (streaming audio pour les utilisateurs de Spotify). Le design reste inchangé avec cette étonnante forme de ballon de rugby qui mesure 66 cm de largeur et pèse 6,5 kg. L'affichage de l'enceinte est plutôt spartiate puisqu'il se réduit à une diode qui change de couleur. Trois boutons sur le dessus contrôlent le volume et la lecture audio tandis que deux boutons à l'avant activent l'interface Bluetooth et l'entrée audio auxiliaire. Cette dernière est placée à l'arrière aux côtés d'une prise réseau filaire et du bouton marche/arrêt, ce qui ne facilite pas son accès. Nous regrettons également l'absence d'une télécommande. Avec ses cinq haut-parleurs (deux pour les médiums, deux pour les aigus et un pour les graves) et une puissance mesurée à 108,9 dB, l'enceinte de Bowers & Wilkins n'éprouve aucune difficulté à sonoriser un salon. Dommage toutefois, la Zeppelin Wireless sature légèrement dès 88,8% du volume maximal. La qualité sonore se révèle très bonne en Bluetooth, malgré un léger manque de basses. Ce n'est pas grave si on écoute de l'électro ou du RnB, mais il faudra corriger cela via l'égaliseur de l'appareil mobile pour les autres styles de musique. En revanche, l'utilisation en Wi-Fi (AirPlay ou Spotify Connect) engendre une amélioration notable de la qualité sonore. Le son se révèle plus équilibré et détaillé, les basses font leur retour sans être envahissantes.
Bowers & Wilkins a conçu le Zeppelin comme l'enceinte pour iPhone par excellence. Le premier du nom, lancé en 2007, était ainsi doté d'un connecteur 30 broches et fut largement mis en avant par Apple. Quatre ans plus tard, son successeur prenait en charge AirPlay, avant d'être revu en 2013 pour adopter le nouveau connecteur Lightning. En suivant cette logique, rien ne justifierait la présentation d'un nouveau modèle — Bowers & Wilkins a pourtant lancé un Zeppelin Wireless. Pourquoi insister sur le « sans-fil », alors que son prédécesseur pouvait déjà se passer de câbles ? C'est que le spécialiste anglais de la Hi-Fi coupe doublement le cordon en abandonnant les connecteurs d'Apple et en se tournant vers le Bluetooth. Rien ne ressemble plus à un zeppelin que le Zeppelin. La forme ovoïde attire ou repousse, mais ne laisse pas indifférente, comme les tweeters débafflés de la gamme CM ou les volutes nacrées du Nautilus. Les enceintes de Bowers & Wilkins se voient autant qu'elles s'entendent, et le Zeppelin ne fait pas exception. Reste que le Zeppelin Wireless n'est pas tout à fait identique à ses prédécesseurs. Le dos du Zeppelin est désormais ininterrompu.Légèrement plus large et plus haut, il est construit autour d'une seule pièce de plastique mat, là où le dos brillant du Zeppelin Air était percé de deux larges évents Flowport. Seuls les boutons de contrôle interrompent la large surface lisse, qui n'attire ni les traces de doigts ni la poussière, en tout cas pas pendant les deux semaines que nous l'avons utilisée. L'ensemble semble flotter à quelques centimètres de hauteur, mais repose bien sur une base oblongue. Du bras qui portait le connecteur Lightning, il ne reste plus que quelques centimètres, juste assez pour frapper le logo de Bowers & Wilkins et caser un témoin lumineux. Ainsi débarrassé de toute protubérance, le Zeppelin Wireless est particulièrement élégant. Les ports du Zeppelin Wireless.La base comporte aussi les rares prises de l'enceinte : celle de l'alimentation intégrée bien sûr, un port USB qui ne sert à rien d'autre qu'à la maintenance, un port Ethernet pour ceux qui n'aiment pas le Wi-Fi, et enfin une entrée auxiliaire jack 3,5 mm. Une entrée purement analogique — Bowers & Wilkins nous assure que le canal optique n'était « que très rarement utilisé », mais nous le regretterons quand même. Comme son nom l'indique, le Zeppelin Wireless a de toute manière été conçu pour...