6 tests d’experts - Aucun avis d'internautes
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Nous avons réuni 6 tests du Sandisk SSD Plus. Les experts notent Sandisk SSD Plus 6/10. Retrouvez sur TestMateriel.com les tests, le meilleur prix, les avis des utilisateurs du Sandisk SSD Plus et d'autres Disque dur SSD Sandisk.
Absente de la série initiale, la déclinaison de 960 Go du SSD Plus est désormais bel et bien au catalogue de SanDisk. Cette version G26 intègre de la mémoire TLC ainsi qu'un système d'accélération des travaux d'écriture. On retrouve ici la fameuse coque plastique très fine de SanDisk qui permet d'obtenir un SSD particulièrement léger : 32 grammes à peine. Le SSD Plus 960 Go "G26" diffère néanmoins techniquement des autres SSD de la série. En effet, SanDisk a décidé d'utiliser ici non pas un contrôleur Silicon Motion SM2256S, mais un SM2258XT. Il est difficile de connaitre les différences entre ces deux contrôleurs, Silicon Motion ne donnant aucune indication sur la déclinaison S du SM2256. Toujours est-il que le SM2258XT est une puce destinée à gérer de la mémoire TLC, qu'elle soit de type 2D comme ici ou 3D. Le circuit imprimé des SSD Plus (G26). De gauche à droite : le 240 Go, le 480 Go et le 960 Go. Ce contrôleur est accompagné de 4 puces de 128 Go de NAND 2D TLC gravée en 15 nm. Si celles-ci arborent le sigle de SanDisk, elles proviennent en fait des usines de Toshiba. SanDisk procède en fait à l'assemblage des yields dans ses propres usines. On remarquera également l'absence de mémoire cache, une spécificité à mettre au dos du contrôleur qui est prévu pour fonctionner sans cette mémoire additionnelle. Comme sur le reste de la série en cuvée G26, SanDisk a recours à un système d'accélération des travaux d'écriture. Le système réserve ainsi une partie de la mémoire — environ 12 Go ici — afin de la traiter comme s'il s'agissait de mémoire SLC. Cela permet de réduire le nombre d'accès aux cellules lors des travaux d'écriture, de réduire le temps d'accès et donc d'augmenter les débits. Sur une file de fichiers de plus de 12 Go, le système montre toutefois ses limites : les douze premiers gigaoctets sont transférés à plein régime, puis le débit chute. Malheureusement, SanDisk se comporte comme la plupart de ses concurrents et ne communique pas sur le débit hors cache. La garantie est de 3 ans sur l'ensemble de la série. Le constructeur ne donne en revanche aucune indication sur l'endurance. Les performances sous benchmark sont sensiblement identiques à celles obtenues sur le reste de la série SSD Plus G26. Le débit séquentiel est ainsi plutôt bon, que ce soit en lecture ou en écriture. En revanche, c'est nettement moins bon sur les accès aléatoires où la prestation est...
L'offre d'entrée de gamme de SanDisk en matière d'unité de stockage flash est représentée par la série SSD Plus. Initialement proposée avec de la mémoire MLC, cette série embarque désormais de la mémoire TLC ainsi qu'un système d'accélération de type cache SLC, non proposé sur la première série. Cette édition G26 du SSD Plus de 240 Go reprend le concept du petit PCB déjà vu sur la précédente version (SSD Plus 240 Go G25) et intégré à un boitier tout plastique. Ce plastique est peu épais, ce qui confère à l'ensemble un poids assez faible : 32 grammes seulement. Très court, le circuit imprimé ne renferme que quatre puces mémoire et un contrôleur. On note ainsi l'absence de mémoire cache. La mémoire, justement, évolue bel et bien par rapport à celle embarquée sur la première génération de SSD Plus. Exit la MLC 19 nm d'IMFT et bienvenue à de la mémoire TLC gravée en 15 nm en provenance de Toshiba — mais siglée SanDisk. La gestion de ces quatre puces est confiée à un contrôleur, toujours en provenance de Silicon Motion, qui passe d'un SM2246XT à un SM2256S. Celui-ci fonctionne toujours sur 4 canaux, mais est en mesure de gérer de la mémoire TLC. Le circuit imprimé des SSD Plus (G26). De gauche à droite : le 240 Go, le 480 Go et le 960 Go. Outre ces changements de composants, SanDisk a également changé son fusil d'épaule et propose désormais un système d'accélération de type cache SLC, ce qui n'était pas le cas des SSD Plus en mémoire MLC. Concrètement, cela veut dire que les débits en écriture sont accélérés par l'intermédiaire d'un système permettant de ne vérifier l'état que du premier bit de données des cellules, comme s'il s'agissait de mémoire SLC. Selon nos mesures, nous estimons la taille de ce cache aux environs de 8 Go sur cette version de 240 Go. Cela signifie que l'accélération est effective tant que la file de fichiers à écrire n'excède pas 8 Go. Dans le cas contraire, seuls les 8 premiers gigaoctets sont accélérés puis le débit chute. Malheureusement, SanDisk se comporte comme la plupart de ses concurrents et ne communique pas sur le débit hors cache. La garantie est de 3 ans sur l'ensemble de la série. Le constructeur ne donne en revanche aucune indication sur l'endurance. Les débits sont moins importants que sur la version G25, et ce, dans tous les cas de figure. Sous benchmark, on remarque que les accès aléatoires sont divisés par deux en écriture et...
Nouveau SSD ce jour à la Ferme avec le SSD Plus de Sandisk dans sa version 480 Go. Un SSD que l'on trouve très souvent en promo aux alentours des 100 €, alors forcément, on pourrait être tenté. Mais que vaut réellement ce SSD ? Réponse dès maintenant dans ce nouvel article Fermier. Nous connaissons bien le SSD Plus de Sandisk, un modèle qui propose l'essentiel pour un très bon prix. Voyons ce jour si le modèle 480 Go est aussi intéressant.. Ses caractéristiques sont les suivantes : Une boite dans les tons noir, gris et rouge comme toujours chez la marque et un bundle qui ne comprend pas grand chose, mis à part une notice et un adaptateur 7 mm vers 9.5 mm. Sachez que vous avez également le nécessaire pour cloner votre HDD. Avec ses dimensions de 100 x 70 x 7 mm, le SSD Sandisk est de type Slim. Son poids est de 52 gr, il est léger avec sa coque qui est entièrement en plastique. Le PCB de SSD Plus prend place dans un boitier qui est donc entièrement en plastique. Comme toujours, on retrouve le noir et le rouge, les couleurs emblématiques de la marque. Au niveau du PCB, sachez que ce dernier est de petite taille et il regroupe un contrôleur Marvell 88SS1074BSW2, 256 Mo de mémoire cache et 4 puces MLC 128 Go A19 Toshiba de seconde génération. Le SSD est donné pour 480 Mo/sec en lecture et 400 Mo/sec en écriture. On commence comme toujours avec la lecture sous HD Tune. Nous avons une moyenne de 435.1 Mo/sec, ce qui est très bon et la courbe est relativement stable passant de 410 à 446 Mo/sec max. Le temps d'accès est bas, 0.034 ms. En écriture, le SSD garde aussi une bonne moyenne avec 347 Mo/sec. On remarque que la courbe est une nouvelle fois assez droite et les débits oscillent entre 322 et 390 Mo/sec. Le temps d'accès reste très bon, 0.047 ms. On termine sur les fichiers de différentes tailles. En 0.5 Ko, nous avons 16 Mo/sec en écriture et 22 Mo/sec en lecture. En 32 Ko le SSD passe à 360 Mo/sec en lecture et 320 Mo/sec en écriture. Au maximum, nous avons 500 Mo/sec en lecture et 460 Mo/sec en écriture. D'abord les débits sur le 0.5 Ko, donc au minimum. En lecture, nous sommes à 45.9 Mo/sec, ce qui est une bonne valeur et en écriture, nous sommes plus que très bien avec 60.9 Mo/sec. Le SSD Plus 480 Go continue de bien faire. Avec les débits max, excellente surprise, car nous sommes à 556.6 Mo/sec, soit bien plus que les 480 Mo/sec annoncé et en écriture, nous sommes à 502 Mo/sec, donc là aussi plus...
Nouveau SSD en test à la Ferme ce jour, avec un des modèles les plus accessibles du marché, le SSD Plus de Sandisk. Un modèle qui l'on trouve très souvent pour 59 € en 240 Go et qui annonce tout de même du 520 Mo/sec en lecture et du 350 Mo/sec en écriture. Vaut-il la peine ? Réponse de suite. Avec le SSD Plus, Sandisk s'interesse donc au marché du SSD d'entrée de gamme. Il faut dire que ce SSD est réellement très abordable et souvent à 59 € pour la version 240 Go. Voyons justement ce que propose ce dernier ce jour. Ses caractéristiques sont les suivantes : Une boite dans les tons noir, gris et rouge comme toujours chez la marque et un bundle qui ne comprend pas grand chose, mis à part une notice et un adaptateur 7 mm vers 9.5 mm. Sachez que vous avez également le nécessaire pour cloner votre HDD. Avec ses dimensions de 100 x 70 x 7 mm, le SSD Sandisk est de type Slim. Son poids est de 52 gr, il est léger avec sa coque qui est entièrement en plastique. Le PCB de SSD Plus prend place dans un boitier qui est donc entièrement en plastique. Comme toujours, on retrouve le noir et le rouge, les couleurs emblématiques de la marque. Au niveau du PCB, sachez que ce dernier est de petite taille et il regroupe un contrôleur Silicon Image SM2246XT et 4 puces MLC 64 Go A19 Toshiba de seconde génération. Point de cache sur ce modèle et des vitesses annoncées de 520 Mo/sec en lecture et 350 Mo/sec en écriture.
Si le marché des SSD tend de plus en plus à instaurer une capacité minimale de 240 Go, plusieurs constructeurs proposent encore des petites capacités. C'est notamment le cas de SanDisk qui, avec sa série SSD Plus, propose un modèle de 120 Go à moins de 50 €. Pour proposer un SSD à bas prix, il n'y a pas de recette miracle : il est nécessaire de grappiller quelques centimes partout où c'est possible. Sur les SSD Plus, ça commence par la coque fabriquée dans un plastique très léger qui confère même au produit une certaine souplesse. Cela n'est pas nécessairement problématique, car un SSD n'est pas très sensible aux chocs en raison de l'absence de pièces mécaniques. Sur la balance, nous avons atteint un nouveau record de légèreté avec 30 grammes pour cette version de 120 Go. La moyenne tourne habituellement plutôt aux alentours de 55 grammes, avec quelques modèles à plus de 110 grammes. Au démontage, il n'est donc pas étonnant de trouver un PCB ultra court de 3,9 cm, contre 9,5 cm habituellement. La surprise vient des deux puces mémoire de 64 Go utilisées, puisqu'il s'agit de MLC. Sur un SSD premier prix, nous nous attendions à trouver de la mémoire TLC, moins chère que la MLC utilisée ici. SanDisk utilise d'ailleurs de la TLC sur la série Ultra II, qui se positionne juste au-dessus de la série SSD Plus. Cette mémoire est par ailleurs issue de FlashVision, la joint-venture SanDisk / Toshiba, et gravée selon un procédé 19 nm de seconde génération. Il s'agit donc de puces similaires à celles que l'on trouve sur la série haut de gamme de la marque, l'Extreme Pro. Pour réduire le coût global, la société américaine a recourt à un contrôleur Silicon Motion SM2246XT. Il s'agit d'une version économique du SM2246EN que l'on trouve dans nombre de SSD d'entrée et de milieu de gamme. Cette déclinaison XT a pour première particularité de s'acquitter de l'utilisation de mémoire cache — à la manière du Toshiba TC358790XBG des Q300 Pro. La puce n'intègre donc pas de contrôleur DRAM et est ainsi moins coûteuse à produire, d'autant plus qu'elle ne bénéficie d'aucun bloc permettant de gérer de manière matérielle le chiffrement des données. Au passage, on remarquera que SanDisk ne fournit aucune indication quant à l'endurance des puces utilisées sur cette série. La garantie, elle, est en revanche bien spécifiée : 3 ans. Au passage, on remarquera que cette série fait l'impasse sur le système de cache...
Située en entrée de gamme, la série SSD Plus de SanDisk joue avant tout la carte du faible coût de revient. Proposée à un prix plancher et faisant souvent l'objet de promotions ponctuelles, cette série n'est pourtant pas à éviter, bien au contraire. Pour proposer un SSD à bas prix, il n'y a pas de recette miracle : il est nécessaire de grappiller quelques centimes partout où c'est possible. Sur les SSD Plus, ça commence par la coque fabriquée dans un plastique très léger qui confère même une certaine souplesse. Cela n'est pas nécessairement problématique, un SSD n'est pas très sensible aux chocs en raison de l'absence de pièces mécaniques. Sur la balance, nous avons atteint un nouveau record avec 31 grammes pour cette version de 240 Go. La moyenne tourne habituellement plutôt aux alentours de 55 grammes, avec quelques modèles à plus de 110 grammes. Au démontage, il n'est donc pas étonnant de trouver un PCB ultra court de 3,9 cm, contre 9,5 cm habituellement. La surprise vient des quatre puces mémoire de 64 Go utilisées, puisqu'il s'agit de MLC. Sur un SSD premier prix, nous nous attendions à trouver de la mémoire TLC, moins chère que la MLC utilisée ici. SanDisk utilise d'ailleurs de la TLC sur la série Ultra II, qui se positionne juste au-dessus de la série SSD Plus. Cette mémoire est par ailleurs issue de FlashVision, la joint-venture SanDisk / Toshiba, et gravée selon un procédé 19 nm de seconde génération. Il s'agit donc de puces similaires à celles que l'on trouve sur la série haut de gamme de la marque, l'Extreme Pro. Pour réduire le coût global, la société américaine recourt à un contrôleur Silicon Motion SM2246XT. Il s'agit d'une version économique du SM2246EN que l'on trouve dans nombre de SSD d'entrée et de milieu de gamme. Cette déclinaison XT a pour première particularité de s'acquitter de l'utilisation de mémoire cache — à la manière du Toshiba TC358790XBG des Q300 Pro. La puce n'intègre donc pas de contrôleur DRAM et est ainsi moins coûteuse à produire, d'autant plus qu'elle ne bénéficie d'aucun bloc permettant de gérer de manière matérielle le chiffrement des données.