1 tests d’experts - Aucun avis d'internautes
S'abonner
0
0
Je le veux
0
Je l'ai
0
Je l'ai eu
0
En juin dernier, nous avions publié une actualité sur le nouveau bus d’OCZ, sensé s’affranchir des limites du SATA en s’appuyant sur les ports PCI Express. Malgré une augmentation des débits théoriques jusqu’à 6 Gbits/sec, l’idée derrière le HSDL est que le Serial ATA n’est tout simplement pas en mesure de soutenir l’évolution des SSD. Concrètement, on voit que les limites du SATA 3 Gbits/sec ont été atteintes et d’après les représentants de SandForce, les futurs SF-2500/2600 seront capables d’aller jusqu’à 500 Mo/sec en pointe. A l’époque où le SATA 3 Gbits/sec est arrivé, les périphériques de stockage n’affichaient pas de débits suffisants pour justifier la transition depuis le SATA 1,5 Gbits/sec. De même, s’il fallait encore faire avec les seuls disques durs, le passage en SATA 6 Gbits/sec n’aurait aucun sens. Mais en parallèle à l’évolution des disques durs, l’apparition des SSD a constitué une révolution : avant même que la dernière mouture de l’interface Serial ATA ne décolle, on s’aperçoit que l’obsolescence la guette. Il faut toutefois relativiser : pour les particuliers, le SATA 6 Gbits/sec ne sera pas un goulet d’étranglement dans l’immédiat à moins de vraiment sortir l’artillerie lourde.