2 tests d’experts - Aucun avis d'internautes
S'abonner
0
0
Je le veux
0
Je l'ai
0
Je l'ai eu
0
Le benchmark ray tracing de CryEngine est simplement magnifique, et il fonctionne potentiellement sur toutes les cartes graphiques. CryEngine lance un benchmark GPU spécialisé dans le ray tracing, et c'est clairement l'une des plus belles démos que nous ayons pu voir en temps réel. Nous en avons profité pour tester quelques premiers scores avec notre PC Tom's Hardware équipé cette fois d'un Ryzen 9 3900X et d'une GeForce RTX 2080 Ti. Le bench met évidemment l'accent sur les reflets et les effets de lumière. Et c'est parfaitement réussi, montrant ici que le CryEngine n'a visuellement pas grand chose à envier au moteur Unreal Engine côté ray tracing (si ce n'est qu'UE4 intègre le ray tracing dans sa technique la plus pure, accélérée via Vulkan ou DX12). Notez que ce test pourra aussi fonctionner sur d'autres cartes graphiques que les RTX, d'ailleurs, la démo fonctionne sous DirectX 11. La 4K en peine (encore !) Les résultats montrent qu'il faudra encore attendre pour atteindre une fluidité correcte en 4K (ce qui n'est pas très grave…). Mais en QHD et en Full HD, la plus grosse carte grand public de NVIDIA se débrouille très bien. Nous avons testé l'option « Ultra » (maximale) du test, qui propose aussi une option « Very High », qui consiste à rendre les reflets dans une résolution inférieure. Cette technique de ray tracing est basée sur l'extension SVOGI du moteur CryEngine, et elle fonctionne sur toutes les API et tous les GPU. Nous tenterons de faire plus de tests par la suite.
On fait le point sur la RTX 2080 Ti Comment fixer la consommation moyenne d'une carte par paliers de 20 W et quels jeux tester pour offrir un scénario le plus proche possible de la réalité ? Nous nous sommes longuement posé cette question avant de nous lancer. Pour ce qui est du panel de jeux, nous avons préféré nous limiter à un titre, mais sur une période assez longue, alternant différentes charges. Nous avons opté pour Metro Last Light Redux, qui charge très fortement le GPU, puis mesuré la consommation de la carte pendant 170 secondes. – GeForce RTX : toutes les nouveautés de l'architecture Turing – Test des GeForce RTX 2080 et 2080 Ti Founders Edition – Test : le circuit d'alimentation de la RTX 2080 Ti FE décrypté – Test : la RTX 2080 Ti sous watercooling réfrigéré, quel Boost ? – Comparatif : évolution des performances des GeForce Maxwell, Pascal et Turing – Test : MSI 2080 Ti Gaming X Trio, du très bon boulot ! – Test : KFA2 RTX 2080 Ti HoF, une débauche de luxe et de puissance – Test : GeForce RTX 2080 Ti XLR8, sérieuse et raisonnable – Test : GeForce RTX 2080 Ti Amp! Extreme, la carte la plus folle de Zotac – Test : MSI GeForce RTX 2080 Ti Lightning Z, la carte de tous les superlatifs Inutile de dire qu'il nous a fallu de nombreux essais pour atteindre la consommation moyenne souhaitée pour chaque palier. Le tout en utilisant bien sûr les données déjà fournies par nos tests précédents pour arriver plus facilement au réglage désiré. Mais même avec ces infos, il nous a fallu plus de deux jours pour mener à bien ces tests. Mais ça en valait la peine ! Nous avons aussi veillé à écarter toute limitation due à la température en refroidissant le GPU de manière constante en dessous des 36°C, ce qui permet à la fréquence de Boost de rester la plus élevée possible. Le reste du système est identique à celui utilisé pour les tests de cartes graphiques précédents, à savoir un Core i7-8700K overclocké à 5 GHz et de la mémoire réglée en DDR4-4000. Pour éviter un goulot d'étranglement extérieur au GPU, nous avons testé Metro Last Light (Redux) en 4 K avec les réglages poussés au maximum. La puissance CPU n'est donc en aucun cas un facteur limitant. Quant à la mémoire de la carte, nous l'avons overclockée de 400 MHz, pour monter de 1750 à 2150 MHz, afin de limiter les ralentissements. Il aurait été possible de pousser cette VRAM encore un peu, mais des problèmes de...